Partager son vécu dans les médias, c’est permettre de faire découvrir notre trouble au grand public.
Ce week-end est paru un article dans @lehuffpost où je raconte mon parcours, ma maladie, mes progrès.
Se livrer au grand public, c’est aussi s’exposer aux critiques, aux moqueries et manque flagrant de civilité, inhérents aux réseaux sociaux. Il faut passer outre et se concentrer sur le plus important : si cette vidéo a permis à quelques personnes de mettre un nom sur ce dont ils.elles souffrent, de se sentir moins seul.e.s, alors c’est gagné cette vidéo a été utile.
Parler de sa maladie à son entourage, proche ou moins proche, c’est faire la même chose à moindre échelle. Faire connaître nos troubles à toujours plus de monde, si chacun rayonne autour de soi alors on pourra informer un grand nombre de personnes au bout du compte.
Et en parler à ses soignants, c’est aussi permettre de mieux faire connaître nos troubles du monde médical. L’information n’est pas linéaire et ne doit pas venir que du médecin vers le patient, il est temps de faire bouger les lignes et nous pouvons nous aussi les informer et les pousser à se former.
On a tous un rôle à jouer pour faire mieux connaître notre condition !
Et vous, vous osez en parler autour de vous ?